Kain Blake

Nom du Compte : _Hashshashin_

Nom du Perso : Kain Blake

Race Humain

Alignement : Loyal Mauvais

Classe de base (avec niveaux) : Roublard

Multiclassage envisagé (avec niveaux): Assassin (si accepter par dm)

Les caractéristiques de départ :
- Force : 12
- Dextérité : 17
- Constitution : 10
- Intelligence : 14
- Sagesse : 10
- Charisme : 11

Spécialisation (Domaine de magie/Arme) : dague

Le BG :

Comment survit-on à la rue, se demande souvent les riche bourgeois. Comment se fait-il que nos enfants, éduquer par les plus grand scribe entraîné par des bretteur hors pair élever dans le richesse et la gloire n’arrive a peu près jamais a triompher face a un enfant de la rue ? La réponse est pourtant simple, la connaissance ne remplacera jamais l’expérience. Je n’ai peut-être jamais été formé par un bretteur hors pair, mais dès l’age de 6 ans je tenais une dague. Peut-être qu’aucun scribe ne m’a apprit a lire, mais j’ai rapidement apprit quel blason signifiait un client riche du client pauvre. Je n’ai peut-être pas été élever dans la soie et la dentelle mais je n’ai ne me suis coucher que rarement le ventre vide.

Mon père… cet inconnu qui féconda ma mère. Est-ce un matelot en loin de chez lui qui dépensa la moitié de sa solde durement gagner en boisson et l’autre moitié pour un peu de tendresse. Ou est-ce un riche marchand voulant une nuit abordable ou encore un noble dont la dame ne s’abaissait pas a quelconque acte répréhensible dont ma mère, elle n’avait pas d’objection tan que la paie était bonne ? Je ne le sais pas. Il faut mieux que je continue a l’ignorer car seul la mort clôturerait cette rencontre.

Ma mère, une catin des bas quartier, adepte de la « fumer », un ensemble de drogue hallucinogène que l’on inhale afin d’avoir diverse sensation : puissance, fierté, courage, bonheur… les ravages que ses drogues laisse sur le corps sont indéniable, mais avec le métier qu’on lui avait imposer quel autre choix avait elle pour garder quelque dignité ?

Du plus loin que je me rappelle j’ai toujours été seul. Mon premier souvenir est ma mère agonisante d’une maladie infectieuse et virulente qui lui laissa des marques de mort sur la peau. Elle cracha du sang et mourut sans un dernier regard pour moi. J’ai du apprendre a survivre.

Rapidement une guilde de voleur me recruta, j’avais déjà acquis quelque base en chapardant a gauche et a droite mais eux m’ont formé pour passer de l’amateur au professionnel. Rapidement, sûrement du a mon jeune age lors du début de ma formation ces gestes devinrent des reflex. Je dérobais bourse, bijoux ou tout autre bien sans réel trouble. J’ai bien du a quelques reprise prendre la fuite, mais encore les sombres ruelle était ma maison, je les connaissaient mieux que n’importe qui et m’y cacher était un jeux d enfant.

Puis vers la moitié de mon adolescence on m’apprit l’art du brigandage. J’ai aussi commis mon premier meurtre à cet age : on était en train de dévaliser un convoit de noble quand le mari d’une des dames s’écria au secours alors que mes collègues… s’amusait… avec elle. Je lui ai tranché la gorge d’un geste chirurgicale. Il était mort avant même de toucher le sol.

Le meurtre est comme le sexe, tan qu’on a pas fait l’on craint, l’on a peur et le jour ou vous passez a l’actes vous attendez avec frisson la prochaine occasion qui se présentera a vous. Depuis se jour la mort a suivit mon sillage, laissant manant avec trop de dettes, bourgeois qui ont déplu a quelqu’un avec plus d’argent, même quelque jeunes noble qui voulait impressionner avec leur supposé talent de bretteur.

Ayant acquis une trop grande réputation, ce qui dans mon métier est inadmissible, du a certaine erreur de jeunesse, j’ai du quitter la ville de ma naissance pour prendre le bateau vers un monde nouveau. Malheureusement le bateau fit nauffrage et c’est ainsi que commence mon histoire.